On dit que quand on aime son travail, ce n’est même plus un travail. Bien sûr, cela ne doit pas être un long fleuve tranquille, mais la difficulté est plus facile à encaisser lorsque l’on a la satisfaction de faire ce que l’on aime, ce pour quoi on est né. C’est pour cela que je suis une grande admirative des personnes qui exercent leur passion. C’est une vraie bénédiction.
Je sais que nous sommes nombreux à souhaiter vivre la même chose, sans pour autant y arriver. Et pourquoi ça ?
Sans doute car cela demande beaucoup de courage et de sacrifice, surtout si on doit tout quitter ou si nous avons une famille à charge qui compte sur nous. Pire, si l’on doit faire face à un entourage très présent avec des opinions très fortes. Un entourage qui a du mal avec la notion d’épanouissement dans son travail. Sans doute car eux même n’ont pas eu ce choix ou n’ont pas tenter ce risque (ou cette chance).
Le mal être professionnel ressemble à quoi ?
Le mal être au travail c’est d’avoir une boule au ventre rien qu’en pensant à son travail, ses collègues, l’environnement ou quelques choses en rapport avec le travail.
C’est de commencer à développer des maladies que l’on n’avait jamais eu auparavant.
C’est de finir sa boite de paracétamol trop vite, beaucoup trop vite.
C’est d’être constamment fatigué, épuisé, peu importe la durée de ton sommeil.
C’est de se retenir de pleurer devant tout le monde. Avec ou sans succès.
C’est aussi de ne pas réussir à voir un lendemain meilleur, de ne plus voir d’issue.
Cela impacte le rendement au travail, mais aussi la vie personnelle. Et c’est là le plus grand problème selon moi.
As tu déjà eu à faire à ce genre de problème?
Connais-tu quelqu’un dans ton entourage (perso ou pro) qui fait face à ce problème?
Dites en commentaire si vous souhaitez que je parle un peu plus de ce sujet.
Surtout, ne restez pas seul! Il faut réussir à en parler pour sortir de cette spirale.
À très bientôt
NougaMiel